" Nos étreinte se font plus sensuel, nos avance se font plus prévenant, le monde ne tourne plus autour nous, alors nous profitons de ces quelques moments, pour montrer au monde comment on s'aime... Pour montrer à dieu, que nous aussi, nous pouvons vivre. Ce moment là, je le garde en tête, et j'écris des choses en y pensant, tout étais si parfait... Rien ne laissais présager que l'on ne s'aimais plus depuis longtemps... Mais je crois que l'ont se retrouvais, petit à petit, dans ces moments de lâcheté...
Le jour va bientôt se lever, tu vas devoir rentrer chez toi, sinon ton père va apprendre que l'ont est de nouveaux ensemble, et il me fera la peau. Il est vrai que tu n'aurais pas du revenir... je t'ai fait du mal, je t'ai détruit, je t'ai battu, tu à failli mourir... A chaque moment d'égarement, où l'alcool prenais l'avantage, les larmes au yeux, je n'avais qu'une pulsion, un éclat de violence, un vice douloureux... car en état normal, je n'aurais te toucher, moi qui suis si timide...
Mais aujourd'hui j'ai changer, je crois... J'ai pu m'acclimater au manque d'alcool, plus par contrainte économique que par envie. Aujourd'hui je suis de nouveaux sobres, je crois... Même si je ressent quelques étourdissement quand je pense à toi.
Je suis face à ma feuille, tu est partis chez toi depuis quelques heures déjà, j'écris des mots, je me livre à cet page blanche... Et si nous pouvions de nouveaux êtres heureux ? Et si, tu m'avais pardonner ? Et si, ce nouvel homme, n'avais plus de faiblesse ?
[...]
" Bonjour, comment aller vous ? Je ne sais plus qui je suis , j'ai bu hier soir, car j'ai eu un moment de nostalgie, et je crois que tu devais me voir, enfin c'est ce qu'on m'as dit... je ne sais pas où tu est... je ne sais pas qui tu est."
Le jour va bientôt se lever, tu vas devoir rentrer chez toi, sinon ton père va apprendre que l'ont est de nouveaux ensemble, et il me fera la peau. Il est vrai que tu n'aurais pas du revenir... je t'ai fait du mal, je t'ai détruit, je t'ai battu, tu à failli mourir... A chaque moment d'égarement, où l'alcool prenais l'avantage, les larmes au yeux, je n'avais qu'une pulsion, un éclat de violence, un vice douloureux... car en état normal, je n'aurais te toucher, moi qui suis si timide...
Mais aujourd'hui j'ai changer, je crois... J'ai pu m'acclimater au manque d'alcool, plus par contrainte économique que par envie. Aujourd'hui je suis de nouveaux sobres, je crois... Même si je ressent quelques étourdissement quand je pense à toi.
Je suis face à ma feuille, tu est partis chez toi depuis quelques heures déjà, j'écris des mots, je me livre à cet page blanche... Et si nous pouvions de nouveaux êtres heureux ? Et si, tu m'avais pardonner ? Et si, ce nouvel homme, n'avais plus de faiblesse ?
[...]
" Bonjour, comment aller vous ? Je ne sais plus qui je suis , j'ai bu hier soir, car j'ai eu un moment de nostalgie, et je crois que tu devais me voir, enfin c'est ce qu'on m'as dit... je ne sais pas où tu est... je ne sais pas qui tu est."